vous pouvez retrouver les mots en MAJUSCULE* et astérisque dans une des 4 parties du DIP

M

MINOX

MIRANDA

MJU

MOLLIER


MINOX

 

Marque mythique Allemande popularisée par tous les films d’espionnage. Toujours au top elle produit des répliques miniature d’appareils célèbres tels que les Rolleiflex et les LEICA*.

 

 

MINOX III S de 1954 utilisant une  cartouche spéciale

de film cinéma de format 9.5 mm et donnant  36 photographies de 8x11 mm

ses dimensions réelles sont : 82x27x15

 

SOURCE : JCR

 

 

le MINOX numérique ici la réplique mini du LEICA* M3 DIGITAL

SOURCE : http://www.jamesbondlifestyle.com/product/minox-leica-m3-digital-classic-camera


MIRANDA

 

Marque Japonaise baptisée, dans les années soixante dix, le « NIKON* du Pauvre » - ah la condescendance quand on ne pouvait pas se payer un NIKON* ou se le faire offrir comme pour un pro -  c’est dire le « melon » qu’avait à l’époque la marque pour mépriser les fabrications de Mr Ogihara. Particulièrement bien fabriqués  avec des systèmes optiques dédiés de qualité ou des montages intelligents d’optiques concurrentes, ces boîtiers ont connu le succès dans le monde entier. Un peu moins en Europe, peu en France, car les grands, sans doute taquinés par le rapport qualité prix ont – et c’était facile avec la presse stipendiée – empêché un succès prévu.

 

A quoi ressemblait un MIRANDA ?

 

 

le MIRANDA* AUTO SENSOREX  était, mais vous l'auriez deviné en le regardant, un REFLEX* 35 mm à OBJECTIFS* interchangeables présenté en 1971.

Doué le Bébé ! : visée interchangeable (à l'oeil et de poitrine, verres de visée au choix..) automatisme débrayable, analyse de la lumière sophistiquée par un miroir/cellule.

 

SOURCE : JCR

 


MJU (OLYMPUS)

 

Cet appareil argentique (prononcer » miou ») produisait avec son objectif de 35 mm ouvert à f3.5 – dès 1991 - des photographies de telle qualité que des grands photographes l’appelaient : « le bloc note » et l’avait toujours sur eux en complément de leurs gros boîtiers.

Que le lecteur me pardonne mais celui du dessous m'a longtemps accompagné un peu partout et je retrouve compacité et qualité ( en ayant joyeusement "bazardé" reflex et accessoires ) sur mon OLYMPUS* STYLUS 1.

 

A quoi ressemblait un mju (ici en version limitée) ?

 

 

 

Ici un OLYMPUS* mju dans sa version de luxe LT1.

toujours prêt à fonctionner !

 

SOURCE : JCR

 

 

Etant, avec l'âge, devenu faignant et n'ayant plus envie de porter un gros Reflex et ses accessoires j'ai longtemps (pendant presque une année) cherché à "bazarder" tout le toutim et à échanger contre quelque chose de performant et léger.....j'ai fini par trouver pour un prix raisonnable un STYLUS 1 et j'en suis particulièrement satisfait.
Ceci sans publicité, mais si Mr OLYMPUS veut me rémunérer il trouvera bien mon adresse mail.


MOLLIER  ETIENNE

 

Et si pour rire ( quoique ?) j’écrivais que Etienne MOLLIER* est le BARNACK* Français, serais-je dans l’erreur ?

Né à St Laurent du Pont, dans le Dauphiné, à quelques kilomètres de Grenoble le  25 décembre  1876 cet ingénieur, fils de boulanger, dût choisir le certificat d’études en poche, un métier. Passionné de mécanique, il monte alors à Paris pour s’associer avec un certain Monsieur Demaison pour fabriquer des obturateurs photographiques équipant les nombreuses fabrications en bois de l’époque. Il commercialisera alors le « Colibri » appareil photographique au format 41/2 X 6 . Mais son « coup de génie » date de 1910 et du Concours Lépine de la même année où il présente un nouvel appareil photographique  ( le CENT VUES * ) au format…..24X36 en coupant en deux le légendaire film de 70 mm. Les diapositives sont là et le développement important de la projection qui va avec (dans les écoles, les expositions…) jusqu’à l’ultime épidiascope  dont il a longtemps développé les performances jusqu’à sa mort en 1962 .

 

Etienne MOLLIER (1876-1962)


vous pouvez retrouver les mots en MAJUSCULE* et astérisque dans une des 4 parties du DIP

 

N

NIEPCE (NICEPHORE)

NIKON

 

NIEPCE (NICEPHORE)

 

De son prénom Nicéphore c’est un peu le premier roi de la photographie, même s’il a inventé bien d’autres choses. A juste titre tout le monde reconnaît, certes avec retard,  la paternité et l’antériorité de la découverte et le village de St Loup de Varennes  ( à côté de Chalons sur Marne, son village ) comme le premier endroit au monde photographié.

Il faut savoir que Nicéphore n’a pas cherché la notoriété, à tel point qu’il a appelé son invention la DAGUERREotypie* ! et qu’il a laissé le soin à LM DAGUERRE* de présenter à F. ARAGO* son invention. Ajoutez à cela la bagarre avec les Anglais  (FOX TALBOT) et vous aurez une idée du personnage qui écrivait, à propos de son invention  : « "Ceci n'est qu'un essai bien imparfait, mais avec beaucoup de patience et de  travail on peut faire de grandes choses."

Notons enfin qu'il a eu la mauvaise idée de mourir 6 ans avant la présentation de FRANCOIS ARAGO, mais l'Etat Français versera une rente à son fils pour services rendus.

NICEPHORE NIEPCE (1765 -  1833 )


NIKON

 

NIPPON*  KOGAKU KK  est le regroupement de trois fabricants Japonais d’optique en 1917 ; elle deviendra NIKON CORPORATION en 1988.

Les produits photographiques et optiques portant la marque NIKON* Japon ont été introduits en France en 1955 par la société Maison Brandt Frères SA, agent général des marques d’horlogerie Omega et Tissot, aux termes d’un contrat de distribution exclusive. L’activité NIKON* au sein de la Maison Brandt Frères a été relativement réduite jusqu’en 1962 car l’importation des appareils photo en provenance du Japon était alors étroitement contingentée. Fin 1962, le système de contingents a été aboli permettant l’ouverture au sein de la Maison Brandt Frères d’une branche optique chargée de la diffusion des produits NIKON*

 

 ( source : http://nikon-dev.nmddb.com/photographe/rep-qui_sommes_nous/ido-5/nikon_france_sas.html)


O

ORWO

ORWO

 

Pellicule fabriquée dans l’Est de l’Europe à WOLFEN (RFA) depuis 1964. Il semblerait qu'à l'époque AGFA aurait assisté les créateurs, ou aurait été "pillé". On ne trouve plus aujourd'hui que des films quasiment professionnels  produits par l'entreprise FILMOTEC.  Voir des précisions à PERUTZ*.

135 et 120 deux formats utilisés dans la fin des années soixante quand on était à la rcherche d'un prix. Quant à la qualité ??

Mais quel délicieux goût de rétro ? non ?

SOURCE : JCR