les items marqués en MAJUSCULE* et accompagnés d'un Astérisque* sont également présents dans une des 4 parties du DIP

M

MACUUM

MAGNESIQUE (FLASH)

MANIVELLE (DE REMBOBINAGE)

MASQUE

MAT

MONOPOD

MOTEUR

MOUSSE (DES BOITIERS)

MUSEES (DE LA PHOTOGRAPHIE)

MUSEE  ATELIER (de la PHOTOGRAPHIE)


MACUUM

 

Bague destinée à inverser un objectif normal c'est-à-dire à obtenir rapidement un rapport de grossissement de 1/1 avec un 50 mm courant et de plus de 3 avec un 28 mm !! Quant on est peu argenté cela reste une solution pour qui veut approcher la MACROPHOTOGRAPHIE*


MAGNESIQUE (FLASH)

 

Avec l’invention de la PHOTOGRAPHIE l’éclairage est passé de la « poudre à éclairs «  inventée  en 1887 par  deux chimistes allemands Adolf Mieetke et Johannes Gaedicke ;  Il s'agissait  d'un mélange explosif fait de magnésium, de chlorate de potassium chlorate et d'antimoine que le photographe enflammait à l’aide d’un genre de briquet : inutile de préciser que c’était un poil dangereux. C’est ce qui poussa l’industrie à enfermer cette technique dans des ampoules généralement de couleur bleu, avant de céder dans les années soixante à l’éclair electronique.

A quoi ressemblait les ampoules magnésiques ?

SOURCE : JCR


MANIVELLE ( DE REMBOBINAGE)

 

 

Curiosité du temps de l’argentique permettant comme son nom l’indique, quand le film était terminé, de le rembobiner pour le traiter dans un laboratoire. 2 écoles s’affrontaient alors ; celle qui préconisait le rembobinage total faisant disparaître la partie d’amorçage en biais du film et celle qui préconisait de laisser cette partie dehors..Mais il fallait alors rembobiner à l’oreille pour , dès que l’on entendait un « Flip » cesser toute manipulation.
J’ai souvenir que cette manivelle servait également à tendre le film ( anecdotique) mais à faire des surimpressions car en débrayant la mécanique ( en appuyant sur un bouton dédié) on pouvait alors réarmer et prendre une prise de vue sur une partie déjà impressionnée. Est-il utile de préciser que les résultats étaient souvent aléatoires.

Commment fonctionnait  cette manivelle sur un boîtier 24x36 ?

premier temps : repérer la dite MANIVELLE cachée

deuxième temps : tirer le bouton vers le haut

troisième temps : déployer la MANIVELLE et rembobiner le film.

SOURCE : JCR


MAT

 

Ou Brillant ? éternelle question posée par l’opérateur photographe lors du dépôt de votre pellicule argentique…on ne se pose maintenant la question que pour la qualité du papier des imprimantes.

 


MOTEUR

 

Ah le clac – peu discret – du moteur qui arme et rembobine en même temps la pellicule argentique sur un boîtier de moyenne gamme pour des films de 36 épreuves ; Il existait des véritables « usine à gaz » encombrante et bruyante pour des films au mètre !!

 Et puis ça donnait de la gueule audit boitier, tellement d’ailleurs que pour l’argentique le marketing a inventé le « grip » qui a l’allure d’un MOTEUR* mais pas le bruit puisqu’il s’agit ni plus ni moins qu’un logement pour des batteries supplémentaires ( souvent d’ailleurs fort utile ).

 

A quoi ressemblait un ( vrai*  ) moteur de reflex ?

 

 

 

*Par opposition à la fausse poignée des APN baptisée « GRIP » et contenant les piles ou une batterie de secours.

ici un CANON AE FN 02

SOURCE : JCR


MOUSSE (DES BOITIERS)

 

Quand on ouvre un boîtier argentique ancien on est souvent déçu de découvrir que les joints se sont allègrement désagrégés par petits bouts noirs, nombreux et collants et que nos mains ne sont guère présentables pour le « Bal des Débutantes ». Quand on veut restaurer le boîtier on trouve facilement ses mousses qui redonneront une bonne isolation à votre trouvaille.


MUSEE ( DE LA PHOTOGRAPHIE )

 

En France il y a 2 musées ; Le premier est en Essonnes à Bièvres collection de Jean et André FAGE, le second en Saône et Loire à Chalons/ Marne est le musée NIEPCE qui possède beaucoup moins de matériel que le premier cité.

D’autres établissements font la part belle aux épreuves photographiques proprement dîtes, plûtot qu’au matériel lui-même comme le MEP ( maison européenne de la Photographie ) à Paris, le TPI ( théâtre de la photographie et de l’image) à Nice.

Il existe de petits musées à dominante matériel en France tels que celui de Gracay dans le Cher   ( 18310)    

Les principaux musées francophones sont : Lausanne( Suisse ) musée de l’Elysée, Charleroi (Belgique) situé dans un magnifique ancien couvent.

 

Sites à  découvrir : http://www.museedelaphoto.fr   ( pour le musée de l’Essonnes)                               

http://www.museeniepce.com ( site un peu indigent)

http://www.tpi-nice.org

http://www.museephoto.com  (musee privé GRACAY Indre et Loire)

http://www.museecinemaphoto.com   (ST NICOLAS DE PORT (54210)

www.museephoto.be (CHARLEROI Belgique)

http://www.ottawamuseums.com/contemporary-photography.aspx (OTTAWA Canada)

 


MUSEE ATELIER (DE LA PHOTOGRAPHIE)

 

C’est un musée situé à BEAUTIRAN en Gironde, fondé par MR PASCAL PEYROT et accueilli dans le musée des techniques par Mme Marie Francoise MICOULEAU . Il expose près d’un millier d’appareils allant du début de la photographie au pré-cinéma et propose des ateliers de formation sur le laboratoire et bien d’autres thèmes.


N

NEGATIF

NOIR ET BLANC

NUMERIQUE

 


NEGATIF

 

Par opposition à positif il s’agit de l’autre  cosse d’une batterie, mais également d’une image aux couleurs inversées  qui donne alors du bleu en jaune, du vert en magenta , du rouge en cyan et du noir en blanc.

Du temps de l’argentique négatif nommait également le film proprement dit. Il faut noter l’extrême difficulté à faire « développer » un tel film aujourd’hui, surtout quand un grand laboratoire confond ( il n’est pas le seul !!) développement et tirage.

On peut retrouver les effets « NEGATIF* » sur n’importe quel logiciel de post traitement de vos photographies.

Le premier vrai négatif – c'est-à-dire permettant une reproduction à l’infini en positif – fut l’œuvre d’un Anglais HENRI FOX TALBOT qui breveta en 1841 son « calotype ».

 

A quoi ressemblait un négatif « calotype » ?

 

 

Erechteum par WILSON BRIDGES calotype de 1848

 

SOURCE :

wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Calotype#/media/File:Erechtheum,_Western_Portico.jpg


NOIR et BLANC

 

Nom de baptême d’une minorité agissante  (au sein de la grande majorité des photomoches) revendiquant une certaine forme de photographie dont toutes les couleurs auraient disparu au profit , il est vrai, d’une infinité de tons compris entre le noir et le blanc. Cette tribu d’irréductibles ne jurant que par ILFORD (sous toutes ces formes) et par des portraitistes affûtés tels que YUSSUF KARSH voudraient nous faire croire que la télévision noir et blanc serait bien meilleure que la télévision couleurs.

Imaginons un seul instant qu’ils aient simplement  raison quand on constate l’envahissement de photographies faites à la mitrailleuse numérique, sans réflexion, sans patience, sans souci de cadrage et d’éclairage. Faisons tous un exercice d’humilité en regardant ces photographies ringardes en noir et blanc quand les photographes avaient le temps et qu’ils s’appelaient Doisneau, Cartier Bresson, Seymour, Wegee , Lartique, Riboud, Hadget…et de grâce évitons les classements du types « Les meilleurs du siècle.. » car on peut tous un jour avoir la chance de faire un chef d’œuvre.

Les "Grands" du Noir et Blanc ( sans que cette galerie ait la prétention de l'exhaustivité)


NUMERIQUE

 

Par opposition à ARGENTIQUE* se dit de la PHOTOGRAPHIE* se passant de toute action chimique. La photographie est NUMERIQUE* (de nombre)  car tout enregistrement est sous forme de fichier informatique utilisant la numération binaire avec uniquement le zero et le un .