vous pouvez retrouver les mots en MAJUSCULE* et astérisque dans une des 4 parties du DIP

D

 

DEBOUCHER

DECLENCHEURS

DELAI

DEPRESSION

DETECTEUR

DIAPHRAGME

DIN

DISTANCE

DISTORSION

DISQUE DUR EXTERNE

DROIT A L’IMAGE


DEBOUCHER

 

On parle ici de déboucher les ombres provoquées par un violent CONTRE JOUR* L’utilisation raisonnée d’un flash aide beaucoup, mais il n’y a rien d’AUTOMATIQUE* d’où la difficulté avant de prendre la photographie, car, après cela se voit vraiment ( en fait on ne voit rien !) et ne croyez pas que le POST TRAITEMENT* va vous aider sans faire de votre œuvre quelque chose de plat sans relief ni contraste. On peut utilement se reporter à CONTRE JOUR* .


DECLENCHEUR

 

Petit bouton magique qui permet de….déclencher c'est-à-dire de donner le départ à toute une cinématique à partir de l’œil qui voit à la machine qui enregistre pour que l’œil, à nouveau puisse voir sans être déçu ! Dès la toute fin du XIX ième siècle Mr GEORGE EASTMAN* affirmait déjà : « You press the button and we do the rest » libérant ainsi le photographe amateur de tout ce qui est après avoir appuyé sur le bouton magique…plus de post traitement, plus d’apprentissage de logiciel compliqué….bon là je mélange un peu.

Avez-vous remarqué que ledit déclencheur est toujours situé à droite de tout boitier, ce qui est assez sympathique pour un gaucher et que ledit déclencheur a perdu un pas de vis qui servait, il y a bien des années à greffer un déclencheur automatique – souvent à huile -  ou un déclencheur souple voire mou comme les montres de Dali ! Cela donnait alors aux appareils d’alors  un délicieux parfum d’antan.

 

 

Ah le petit déclencheur souple de "Dansletemps" !!

Maintenant impossible de s'en servir, le pas de vis idoine ayant disparu !

d'aucun voient encore la poire en caoutchoux rouge qui muni de son prolongateur équipait toutes les chambres de photographes.

SOURCE : JCR


DECLENCHEUR AUTOMATIQUE

 

Merveilleuse invention – qui ne date pas d’hier matin – et qui permet au photographe, moyennant un temps à paramétrer  d’être présent sur la photo. C’est un SELFIE* en moins beauf !!

Présent et réglable sur tous les appareils numériques, il pouvait prendre la forme d’une seringue que l’on mettait sur le déclencheur ( muni d’un pas de vis idoine !) ou d’un levier présent en façade d’un boitier argentique.

 

 DECLENCHEUR AUTOMATIQUE *GITZO* fonctionnant à l'huile : il suffisait de tirer sur la partie haute, pour que la partie basse s'enfonce doucement dans le déclencheur muni de vis.

Plus personne ne se sert d'un tel objet  qui fait peur !

SOURCE : JCR

 

 DECLENCHEUR AUTOMATIQUE * sur un boîtier reflex, ici un MINOLTA* . C'est un mécanisme d'horlogerie que l'on remontait en descendant le petit levier. Un bouton de déclenchement permettait au mécanisme en fin de course de déclencher. Il est à noter que l'action était accompagnée d'un délicat petit mouvement doux à l'oreille et aujourd'hui disparu, remplacé par une diode rouge qui clignote : quelle déchéance !!

SOURCE : JCR


DELAI (DE LATENCE)

 

La latence étant rapidement définie comme un délai entre deux instructions, il est à noter que le fameux délai de latence est à l’origine de très nombreux chef d’œuvre inconnus puisque non photographiés le temps que le compact se réveille, vérifie ses logiciels, l’état des piles l’aigle Royal s’est envolé depuis quelques minutes.

Remarquons également  que le marketing photographique atteint des degrés de mensonge à peu près aussi élevés que le marketing automobile pour les consommations de nos véhicules. Beaucoup de mode d’emploi indiquent  un temps de latence « très court », voire « ultra court » ce qui ne veut strictement rien dire, sinon celui d’être certain de rater l’instant.

Notons enfin que l’on peut cumuler temps de latence pour démarrer et temps de latence pour que votre auto-focus veuille bien fonctionner, si, bien entendu, toutes les conditions sont remplies.


Il faut donc essayer votre futur APN* : et pour cela ne comptez pas sur la grande distribution spécialisée ( FNAC, BOULANGER, DARTY....) qui sont incapables de mettre une batterie dans leurs appareils d’exposition, mais allez voir un photographe, du moins si vous avez la chance qu’il en reste un à moins de 100 km de votre domicile.


DEPRESSION

 

Que vous ne manquerez pas de faire en ayant acheté à prix d’or – enfin à prix « Pomme »- un magnifique téléphone que le constructeur va essayer de vous faire passer, avec force marketing, pour un appareil photographique.

Mon conseil décalé : achetez un téléphone normal qui en « jettera » forcément moins et un compact ( il en existe de très bons avec de bonnes conditions photographiques quand même) qui en "jettera" nettement plus par ses résultats.


DETECTEUR DE…

 

C’est fou la liste des détecteurs dans les APN*  mouvements, vitesse, sujets , sourire, flash, yeux fermés, yeux rouges, de scènes, de formats, d’images… ( j’espère ne pas en oublier cela ferait désordre dans un dictionnaire).

Il est à remarquer que dès les années soixante dix le boitier argentique reconnaissait, grâce à des détecteurs adaptés, le type de pellicule utilisée, le type d’optique montée. Il faudra attendre le format mort-né APS* pour disposer de quelques informations en plus à destination des laboratoires.

Il est enfin à regretter qu’il n’existe pas encore de détecteur de PHOTOMOCHE* et  de talent : dommage !!


DIAPHRAGME

 

C’est l’iris de votre œil, mais en métal à lamelles qui forment une figure géométrique régulière et de tailles différentes ; Il est à noter que plus le chiffre annoncé du diaphragme est petit plus l’ouverture est grande et lycée de Versailles !! Ce qui est assez malcommode  pour un débutant, mais il faut bien passer par les fondamentaux. Car il existe un lien physique obligatoire entre la zone de netteté (PROFONDEUR DE CHAMP*) et l’ouverture du diaphragme.

En faisant court si vous voulez une grande zone de netteté…fermez là !!

Le diaphragme le plus simple ne date pas d’hier mais plus précisément  de la CAMERA OBSCURA* ( vers l’an 1000 !) ; pour ceux qui l’ignore ce serait un "bidouillage" optique permettant aux peintres de littéralement copier la nature et de tirer des extases de leurs admirateurs béats et béotiens quelques siècles plus tard : si c’est pas honteux !!

 Montage permettant de voir de gauche à droite , 3 ouvertures de DIAPHRAGME*

f11 : le plus petit trou, la plus grande PROFONDEUR DE CHAMP*

f5.6

f2.8 : le plus grand trou, la plus petite PROFONDEUR DE CHAMP* ( vous savez les fonds flous des portraits)

SOURCE et MONTAGE : JCR


DIN

 

« Deutsches Institut für Normung » est la traduction de ce sigle. Par DIN * tous les photographes entendaient la même chose c'est-à-dire la sensibilité de leur pellicule à la lumière ; il s’agissait ici de la norme Allemande ( quand le matériel Allemand se croyait le roi du marché ) ; elle s’opposait à ASA* – normes américaines – puis de nos jours on parle d’ISO* - norme internationale standard. 

Un film peu sensible à la lumière, donc dédié aux longues poses pour obtenir un GRAIN* super fin se remarquait par un ASA faible ( 25 par ex) ce qui donnait en DIN 15 et en ISO 25 ; Si je n’est pas été assez clair reportez vous à la table ci –après extraite d’un site indispensable…


DISTANCE (FOCALE)

 

Souvent raccourcie en FOCALE * c’est la distance séparant le centre de la lentille au point où se forme l’image sur la pellicule ou le capteur. Mais , vous devez vous demander où se situe le centre de la lentille, non ? en fait imaginez  qu’on tienne la lentille debout photographiée sur la tranche et qu’on tire un trait sur le milieu de l’épaisseur : on obtient alors le centre de la lentille.

Les anciens connaissent par cœur la signification d’un 28 mm, d’un 50 mm, d’un 135 mm , d’un 400 mm ; cela signifie que – dans l’ordre – la distance comprise entre le centre de la lentille de l’objectif et ( pour faire vite ) le capteur ou la pellicule est : 2,8 cm, 5 cm, 13.5 cm et 40 cm d’où ces tubes que l’on voit sur les boîtiers. Il faut noter, cependant, que ça se complique un peu avec des capteurs qui ne sont pas FULL FRAME* c'est-à-dire qui n’ont pas la dimension de 24X36 car il faudra appliquer un coefficient multiplicateur – faire une multiplication relèverait-il  de la performance pure pour les nouvelles générations ?- pour s’apercevoir qu’avec un capteur plus petit on dispose d’objectifs à plus longue distance focale..

Qui dit distance focale dit angle de vision. L’œil, en gros et si on est normalement constitué, a un angle de vison de 60° qui correspond à un 50 mm. Le super grand angle, dont tout le monde connaît les effets comiques ( le fameux FISH EYE* ou œil de poisson ) démarre avec un angle de vision de 120° pour aller plus loin. Le TELEOBJECTIF *de 400 mm par ex a un angle de vision très étroit (que l’on constate si on bouge très peu à gauche ou à droite ) de l’ordre de 6°.

Mon conseil : cette notion fait partie des fondamentaux qu’il ne faut pas négliger si on veut aller au-delà d’appuyer sur le bouton en  montrant bien son dernier  « Aïe Pod » . Aussi je vous conseille d’aller sur le site de LOIC TRIPIER* ( non professionnel mais quel talent !) ; c’est un choix volontairement subjectif mais de qualité. Il doit exister plus d’une centaine  de sites sur l’initiation à la photographie.

Le lien  SOURCE/Autorisé/  http://pyrros.fr/tutoriel/choisir-son-objectif/comment-choisir-ses-objectifs-quelle-focale/


DISTORSION

 

C’est la déformation d’un objet par rapport à sa représentation.

En photographie il y a plusieurs types de distorsion ; les flagrantes comme les parallèles qui se rejoignent en architecture ( les spécialistes parlent de lignes de fuite ), comme les lignes droites qui s’arrondissent avec un objectif très grand angle ( les spécialistes appellent cela la distorsion en barillets ) comme le rapetissement de la partie centrale de la photo prise au téléobjectif ( les spécialistes parlent alors de la distorsion en croissant ).

D’autres distorsions moins…flagrantes relèvent de la couleur  qui peut ne pas avoir la qualité que vous avez constatée lors de la prise de vues, relèvent du bidouillage à « donf « sur PHOTOSHOP* créant  ainsi une foule de distorsions que vous ne maîtrisez plus !

 

 

 

A quoi ressemble une distorsion en barillet ? 

SOURCE : JCR  brandissant fièrement un SONY ALPHA 100 mou


DDE (DISQUE DUR EXTERNE)

 

Petite merveille électronique remplaçant (avantageusement est une autre histoire ) un album de photographies. Le marketing affûté des fabricants voulant, en effet, nous faire croire que c’est pratique (ce qui n’est pas complètement faux)  mais pas non plus complètement exact nous empêche de voir la réalité en face : Combien de photographies numériques avons nous imprimées et combien d'albums papier avons nous faits ?

Car si on veut regarder des photos sur un album, il n’est qu’à tendre la main ou ouvrir un tiroir. Avec un DDE*  il faut un cable à alimenter sur un PC ( donc un PC ), un bon écran voire un grand écran et de l’electricité….J’exagère un peu, car c’est vraiment pratique pour voir photos, films, textes, livres et ce, dans la plupart des cas sans le plaisir de feuilleter un album ; à rapprocher du plaisir qu’on peut avoir d’une liseuse par rapport à un livre.


DROIT A L’IMAGE

 

Le principe du droit à l’image en France est simple : il faut l’autorisation de la personne que l’on montre , si le diffuseur ne l’obtient pas , la personne peut s’y opposer.
 Son application est un peu plus complexe.
Photographier un groupe sur le domaine public n’est pas, contrairement à ce que l’on croit, interdit. C’est la diffusion sans autorisation de l’image d’une personne qu’on peut facilement reconnaître qui est interdit.


vous pouvez retrouver les mots en MAJUSCULE* et astérisque dans une des 4 parties du DIP

E

ECOLE DE PHOTO

EMOTION

EQUILIBRE DES BLANCS

EXIF


ECOLE ( DE PHOTOGRAPHIE )

 

Et oui n’en déplaise aux stipendiés d’internet et aux maniaques du tout gratuit la photographie n’est pas donnée…..à tout le monde ; Il n’est, pour s’en convaincre, que de constater la qualité déplorable des photographies relayées par les réseaux sociaux.

Il faut donc passer par des écoles de la photographie - si il y école c'est qu'il y a quelque chose à apprendre...non ? - sans bien entendu, que cela soit une règle absolue, toute exception confirmant….etc. Si vous êtes muni d’un bac S avec mention et que vous souhaitez préparer un « bts photo » vous avez le choix, en France,  entre 7 établissements privés et 3 publics.

Ce que je regrette profondément c’est la disparition des photographes de quartier : vous savez ceux qui affichaient fièrement qui, une photo de mariage, qui un groupe familial, qui encore ses propres créations ; et d'ailleurs où les étudiants des ECOLES * font-ils leur stage....mystère . Il ne me serait jamais venu à l’idée de demander quelle école avait fréquentée l’auteur de ces épreuves…

Aujourd’hui tout est devenu plus facile et moins cher mais bien plus médiocre. Tout le monde autour de soi a un Frère, un Père, un Oncle, un ami…qui est capable de prendre des photographies ; quant à les réussir ! On côtoie tous un « bidouilleur » en informatique, mais quand le pc est vraiment planté on cherche un pro : le problème pour une belle photographie de mariage c’est qu’on ne peut pas recommencer  ( du moins pas tout de suite !).

Mon conseil : suivez ce lien pour un article très bien fait sur la préparation et le choix d’une école de la photographie : http://www.letudiant.fr/etudes/ecoles-specialisees/formations-artistiques-photographie-13302.html


EMOTION

 

Selon le Larousse – édition 2015 - :

 Trouble subit, agitation passagère causé par un sentiment vif de peur, de surprise, de joie, etc. : Parler avec émotion de quelqu'un.

Réaction affective transitoire d'assez grande intensité, habituellement provoquée par une stimulation venue de l'environnement.

Ne serait-ce pas la manifestation évidente devant une bonne photographie ? depuis quand cela vous est-il vraiment arrivé ?

Une partie de la réponse ne réside-t-elle pas dans le fait que l’on confonde souvent ( et je me mets dans le groupe ) émotion et affectif ; dans l’affectif on mélange émotion et amour de son enfant, de ses Grands Parents, d’un ami….que l’on voit sur une photo, même si cette dernière est consternante de médiocrité. Il n’est qu’à se promener sur les réseaux sociaux pour constater l’abandon total de l’esthétique de base d’une photographie.

 


EQUILIBRE DES BLANCS

 

Notion technique récente liée à l’apparition de la photographie numérique. Elle est aussi appelée BALANCE DES BLANCS* ( voir ce terme) et en anglais WHITE BALANCE.

 


EXIF

 

C’est un ensemble de données liées à la photographie que vous venez de prendre. Les petits carnets d’antan ( vous savez ceux avec l’élastique et le petit crayon ) contenaient souvent ces données sur le lieu , la date, l’appareil utilisé, la pellicule chargée, le temps de pose, l’ouverture….. Aujourd’hui tout est automatisé et en glissant votre souris sur la photo, apparaissent alors certaines données EXIF*.
Le marketing – ultra actif – en rajoute en donnant les coordonnées GPS dont l’utilité pour un amateur peut se discuter, tout comme sur la colorimétrie et bien d’autres encore dont la lecture seule peut dérouter un béotien.

Des petits malins ont crée un programme qui permet de modifier les données EXIF* : allez savoir pourquoi ?


vous pouvez retrouver les mots en MAJUSCULE* et astérisque dans une des 4 parties du DIP

F

FILTRE

FIRMWARE

FISH EYE

FLUIDITE

FORMAT DES FICHIERS

FULL FRAME


FILTRE(s)

 

Qui met encore un filtre sur son objectif d’appareil photographique numérique ? Personne, du moins parmi les téléphonistes et ceux qui font aveuglement confiance à leur logiciel de POST TRAITEMENT*  Il n’empêche que 2 filtres ( au moins ) et 3 ( au plus ) seraient indispensables.


Un filtre UV ( même s’il est devenu inutile avec le traitement des optiques ) en façade, ce qui lui permet , outre son rôle de base de filtrer les rayons Ultra violet, de prendre également , en premier , tous les coups !! Un filtre polarisant qui évite le reflet à la surface de l’eau ( je vous souhaite bien du plaisir pour enlever lesdits reflets en POST TRAITEMENT*). Et, éventuellement, un gris neutre pour faire ( au plus snob ) les rivières qui coulent comme du coton hydrophile.

A quoi ressemblent les effets d’un filtre gris ?

 

 

Je m'autorise à m’interroger sur l’effet quelquefois discutable de ce procédé utilisé abusivement, vu et revu mais graphi-quement audacieux pour un visiteur nouveau sur ce site, par ailleurs, bien fait.

 

SOURCE/A/ : http://www.astuces-photo.com/filtre-paysage-photo/ auteur  Fabien Beilhe


FIRMWARE

 

C’est le logiciel embarqué – ou interne - de tout appareil faisant des photographies ( boitier, téléphone, web cam, caméra..). Vous aurez , sans doutes, remarqué la vitesse à laquelle évoluent les matériels et vous vous poserez légitimement la question sur la mise à jour du logiciel de votre APN*qui, si vous la faîtes, est alors appelée UP GRADING….. c’est pas beau l’Anglais ? il est vrai que ça a une autre gueule que : « faire une mise à jour en téléchargeant la dernière version ».


FISH EYE

 

Ou – objectif -« oeil de poisson » ou encore « objectif ultra grand angle » qui, comme chacun sait, sans lui avoir posé directement la question ( au poisson ) voit , au moins, à plus de 240 ° (c’est comme si on voyait derrière soi : pratique non ? ) .

 

Mon conseil : vous aurez compris que le souci esthétique est un peu éloigné pour ce genre de photo ; utilisez plutôt un excellent grand angle d’équivalent 28 mm en 24x36

 

 

 

 

Voici - pas tout à fait tout de même - un effet GRAND ANGLE * On voit que cette pauvre IZZY , qui n'a rien demandé, ne ressemble plus à un terrible Rotwailer.

SOURCE : JCR 


FLUIDITE

 

Rien de plus agréable, qu’il soit motorisé ou non, que la fluidité d’un zoom permettant , millimètre par millimètre, un cadrage « aux petits oignons ». On a trop souvent une motorisation à la « hussarde» parcourant la gamme de focale beaucoup trop rapidement.
Ce terme peut aussi désigner la capacité d’un zoom à bien fonctionner et se vérifie en posant l’objectif debout sur sa lentille frontale : celui-ci ne doit pas bouger et ne doit avoir aucune amplitude ; c’est, bien évidemment, quelque problème que l’on rencontre dans des objectifs d’"accès de prix" aux curseurs métalliques s’usant vite et peu dans le haut de gamme ! C’est un truc de brocante !! Voilà pour la fluidité des objectifs…

 

Pour la fluidité en tant qu’outil de POST TRAITEMENT* je serai beaucoup plus circonspect quoique fort agréablement surpris par les nouvelles formes obtenues que ce soit dans les cheveux, le visage ou tout le corps, mais nous ne sommes que dans le virtuel ; virtuel qu’il est d’ailleurs dans l’air du temps de critiquer.


FORMAT (de FICHIERS)

 

On parle maintenant de FICHIER (informatique)  plutôt que de numéro de film/cliché/négatif. De nos jours une photographie prise en numérique porte un nom ou un numéro ou un nom de baptême personnalisé et en cliquant droitement sur propriétés on constate son format.

Il existe une ribambelle de formats qui sont utilisés par toutes les grandes marques photo et des formats qui sont la propriété de certaines marques ( on parle alors de format propriétaire) ; il est difficile de parler de « jungle » des formats car seulement  3 à 5 sont utilisés dans plus de 90 % des cas : les J PEG*, le TIFF*, le RAW* ( avec la particularité de ne pas traiter les données, on parle de fichier brut), GIF et PNG. En fait , un photographe, se pose la question du format des ses photographies seulement à 2 moments clés : à la prise de vues et après un POST TRAITEMENT*.

 

Pour vous y retrouver, voilà ce que j’ai trouvé, de mieux :

 

Avantages

Inconvénients

JPEG

- Bon rapport qualité / poids
- Lisible par tous les navigateurs et tous les programmes
- Peut être ajusté en poids et qualité de façon fine
- Gère les métadonnées Exif
- Image directement exploitable
- Ecriture rapide sur une carte mémoire

- Compression avec perte

PUBLICITÉ

- Lié à des brevets
- Qualité variable selon les appareils
- Limité à 8 bits
- Réglages effectués par l'électronique de l'appareil
- Ne gère pas la transparence

Raw

- Non compressé
- Très malléable
- Très riche en informations exemptes de traitement
- Permet de produire un fichier sur-mesure

- Nécessite un convertisseur souvent cher
- Fichiers volumineux
- Fichiers propriétaires

Tiff

- Ne nécessite pas de logiciel spécifique.
- Peut être compressé avec ou sans pertes
- Codage possible sur 16 bits

- Très volumineux
- Ne convient pas pour la prise de vue

Gif

- Léger
- Performant pour les aplats et les lignes (logo, symboles, puces…)
- Permet de sauvegarder plusieurs images en un seul fichier, de façon à réaliser des Gif animés

- Destructif
- Incapable de restituer les nuances
- Limité à 256 couleurs

DNG

- Seul Raw dont le code est ouvert, ce qui lui permet de prétendre au statut de standard

- Tous les inconvénients des autres Raw, l'aspect propriétaire en moins

PSD, PSP, XCF…

- Conservent les calques

- Fichiers propres à un logiciel

PNG

- Compression sans perte
- Gère la transparence
- Format ouvert
- Codage possible sur 16 bits

- Ne permet pas les animations
- Mal supporté par IE 6 et antérieur
- Assez volumineux

SOURCE : l’excellent site CLUBIC  dont voici le lien : http://www.clubic.com/article-73233-5-jpeg-raw-tiff-photo.html


FULL FRAME

 

On parle de Full frame lorsque votre boîtier est équipé d’un CAPTEUR* au format 24x36 ! Mais, pourriez vous me dire j’ai un capteur plus petit et je fais pourtant de belles photos….certes, mais avoir une meilleure construction de votre boîtier (TROPICALISE ? par ex ), une meilleure qualité d’ensemble de vos photographies, une profondeur de champ plus esthétique …cela ne vous tente pas ? c’est ce dont vous disposerez – avec un compte en banque allégé – avec un FULL FRAME*.

 

Le marketing ne dit pas la dimension du capteur d’un MOYEN FORMAT* : est ce qu’un FULL FRAME* de 6X6 , ça existe ? il semblerait que non – mais pour combien de temps ? – puisqu’un capteur moyen format  LEAF peut faire 56x36 mm et coûte le prix d’une jolie voiture moyenne.